Big Fernand, l'enseigne qui promet des burgés de qualité en un temps record dit "adieu" à son président fondateur, Steve Burggraf. Le procréateur de la petite famille fernande tire sa révérence pour laisser place à Maurizio Bondi, recruté chez McDo. Même les Fernandines ont la larme à l'oeil ...
La semaine dernière, l'équipe du Big Fernand de Saint-Germain des Prés nous accueillait joyeusement pour célébrer l'arrivée de leur nouvelle recette provencale. On y rencontrait le patron des restaurants de la chaîne, animé d'un large sourire et armé d'une énergie débordante, autour d'une dégustation de ses produits de qualité, un titre qui lui tient à coeur. Qu'elle n'a pas été notre surprise en apprenant qu'il songeait sérieusement à quitter l'enseigne et ses bien-aimés burgés ? Nous n'aurions certainement pas misé dessus et pourtant, c'est prévu début juin.
Une cinquantaine de restaurants à son effigie, 65 millions d'euros de chiffres d'affaire prévus pour boucler l'année et un plan stratégique, voici sur quoi Steve Burggraf s'en va. Le fondateur lègue une entreprise florissante pour se dédier entièrement à son activité Cul de Cochon, fabricant de charcuterie dépourvue de nitrite et projette, en parallèle, de créer sa propre fondation destinée à la lutte contre le cancer, un soutien apporté à l'Institut Gustave Roussy.
Quant à Big Fernand lui-même, arrivé sur le marché en 2012 avec sa version francisée du burger, il a su s'établir comme l'atelier des hamburgés gourmets, produits en un temps avoisinant celui des chaînes de fast-food. Volontairement rachetée en 2017 par le britannique BlueGem Capital Partners, la chaîne a considérablement accéléré son développement mais cherche à devenir plus "big" encore. Alors quoi de mieux qu'un fervent connaisseur de l'univers de l'alimentation pour reprendre les rênes ? La nouvelle direction aura donc en tête Maurizio Bondi, ex-membre de Danone et directeur marketing de McDonald's France depuis 2016. Ses expériences dans la restauration, l'innovation et le marketing forment une parfaite triade pour parvenir à booster la croissance de Big Fernand, tout en veillant à ne pas compromettre l'image et les valeurs de l'enseigne, du moins c'est ce que l'on nous annonce. On compte donc sur le nouveau patron pour faire propospérer l'économie de l'enseigne, tout en lui insufflant un nouvel élan en adéquation avec ses convictions initiales et sa signature. À suivre...
Sources : Le Figaro
Une cinquantaine de restaurants à son effigie, 65 millions d'euros de chiffres d'affaire prévus pour boucler l'année et un plan stratégique, voici sur quoi Steve Burggraf s'en va. Le fondateur lègue une entreprise florissante pour se dédier entièrement à son activité Cul de Cochon, fabricant de charcuterie dépourvue de nitrite et projette, en parallèle, de créer sa propre fondation destinée à la lutte contre le cancer, un soutien apporté à l'Institut Gustave Roussy.
Quant à Big Fernand lui-même, arrivé sur le marché en 2012 avec sa version francisée du burger, il a su s'établir comme l'atelier des hamburgés gourmets, produits en un temps avoisinant celui des chaînes de fast-food. Volontairement rachetée en 2017 par le britannique BlueGem Capital Partners, la chaîne a considérablement accéléré son développement mais cherche à devenir plus "big" encore. Alors quoi de mieux qu'un fervent connaisseur de l'univers de l'alimentation pour reprendre les rênes ? La nouvelle direction aura donc en tête Maurizio Bondi, ex-membre de Danone et directeur marketing de McDonald's France depuis 2016. Ses expériences dans la restauration, l'innovation et le marketing forment une parfaite triade pour parvenir à booster la croissance de Big Fernand, tout en veillant à ne pas compromettre l'image et les valeurs de l'enseigne, du moins c'est ce que l'on nous annonce. On compte donc sur le nouveau patron pour faire propospérer l'économie de l'enseigne, tout en lui insufflant un nouvel élan en adéquation avec ses convictions initiales et sa signature. À suivre...
Sources : Le Figaro
Mots-clés : Big Fernand Steve Burggraf Maurizio Bondi - Patron Changement - Croissance