Dans le cadre de sa campagne contre les pesticides dans les fruits et légumes de la grande distribution, l’ONG Greenpeace a lancé l’opération « jus multipesticides ». L’opération a été faite contre l’enseigne Leclerc qui, d'après elle, ne serait pas transparente sur la condition de traitement des fruits et légumes mis en rayon dans ses supermarchés. L’ONG a donc acheté des fruits dans un magasin Leclerc pour en faire une mixture de fruits et l’envoyer à diverses rédactions pour qu’elles constatent la présence de différents types de pesticides.
Photo : Greenpeace
Cela remonte à quelque temps, mais Greenpeace avait mis en concurrence plusieurs enseignes de la grande distribution dans une course visant à atteindre les zéros pesticides. Parmi les participants, on retrouve Auchan, Casino et Intermarché qui se contentent de faire le minimum pour réduire les pesticides et soutenir les agriculteurs dans la transition. Carrefour est montré comme faisant preuve de "bonne volonté". Le problème est pour Leclerc qui ne donne aucune information, l’ONG dénonce alors l’absence de soutien aux producteurs pour l’élimination des pesticides, préférant les prix bas plutôt que la santé et l’environnement.
C’est de cette opacité que Greenpeace a lancé son opération « jus multipesticides ». L’ONG qui cherche à faire réduire la présence des pesticides les plus dangereux (néonicotinoïdes, cyperméthrine, deltaméthrine, chlorpyrifos, etc.) dans un premier temps.
D’après le journal Le Figaro, Greenpeace a réalisé des analyses prouvant la présence de 4 substances toxiques sur les abricots de France et 5 pour les fraises. Bien entendu, les substances sont en deçà du seuil maximum autorisé, mais il faut mettre en garde contre le cumul des différents pesticides qui augmente leur effet toxique.
L’organisation a donc décidé par la suite d’envoyer son « jus multipesticide » issu de plusieurs fruits dans plusieurs rédactions. Cette opération a fait un « bad buzz », car plusieurs des bouteilles envoyées ont alors explosé. La raison n’est pas les pesticides, mais, tout bêtement, le fait d’avoir laissé les bouteilles à température ambiante pendant plusieurs jours. Le jus a fermenté. Il aurait suffi de les mettre au réfrigérateur…
C’est de cette opacité que Greenpeace a lancé son opération « jus multipesticides ». L’ONG qui cherche à faire réduire la présence des pesticides les plus dangereux (néonicotinoïdes, cyperméthrine, deltaméthrine, chlorpyrifos, etc.) dans un premier temps.
D’après le journal Le Figaro, Greenpeace a réalisé des analyses prouvant la présence de 4 substances toxiques sur les abricots de France et 5 pour les fraises. Bien entendu, les substances sont en deçà du seuil maximum autorisé, mais il faut mettre en garde contre le cumul des différents pesticides qui augmente leur effet toxique.
L’organisation a donc décidé par la suite d’envoyer son « jus multipesticide » issu de plusieurs fruits dans plusieurs rédactions. Cette opération a fait un « bad buzz », car plusieurs des bouteilles envoyées ont alors explosé. La raison n’est pas les pesticides, mais, tout bêtement, le fait d’avoir laissé les bouteilles à température ambiante pendant plusieurs jours. Le jus a fermenté. Il aurait suffi de les mettre au réfrigérateur…
Via : Bioalaune
Mots-clés : opération Greenpeace Leclerc - pesticides grande distribution - pesticides fruits légumes